lundi 15 octobre 2007

L'appel de la campagne


J’ai de plus en plus tendance à m’inscrire en faux contre l’évolution de l’industrialisation et de la technologie en générale. C’est une réaction au béton, une allergie à la ville. J’éprouve un besoin presque physique d’un retour à la terre. Pas pour la cultiver mais pour l’habiter. Je veux revoir des cieux étoilés la nuit, entendre chanter les bruants et les cigales l’été. L’ironie veut que j’y parvienne peut-être dans quelques années grâce à de nouvelles technologies qui me permettront de travailler à distance.

Pour l’instant, la ville demeure un mal nécessaire. Je n’ai pas le choix.

Pourtant, je m’y vois déjà dans cette petite maison de bois entourée d’arbres. Un garage qui me servirait d’atelier et dans lequel je pourrais ranger 3 ou 4 bécanes. Un spot pour les feux de camp fait en pierres, un fumoir pour la truite et le saumon, peut-être même un enclos avec quelques moutons. Ma belle serait aux anges, elle qui en est gaga.

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