Après une ride nocturne sur les flancs du Douro à chercher le nord égaré sur des sentes à moutons, enfin, la récompense des preux aventuriers que nous sommes. Quinta de Santo-Antonio, le matin, vue de la chambre. Dommage que les besoins en électricité viennent désacraliser le paysage...
lundi 7 avril 2008
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